Chaque homme appartient à deux villes
Une qu’il peut toucher et une autre qu’il ne peut pas voir
Celle où il est un étranger, celle où il est un ami
Chaque homme a une ville de la Liberté
Pour moi cette ville est Paris… J’aime Paris
Chaque fois que j’essaye de me perdre, j’ai l’impression de me retrouver sur les routes de la capitulation
Tu es libre baby
Baby tu es libre maintenant et pour toujours
C’est noël et tu peux décider d’oublier ou de te souvenir
Tu es libre baby
Je ne suis pas venu ici pour me battre contre toi
J’ai parcouru les routes de l’amour et de l’orgueil jusqu’ici pour me rendre
Les routes de la capitulation
De la capitulation
J’ai écouté l’histoire la plus ancienne dont personne ne semble se souvenir/connaître
Je crois qu’il parlait de cet étranger
De jeunesse, d’amour et de danger
C’était l’hiver mais cette tiédeur qui vient avant la neige
A gelé mon âme
Je pleure, je pleure pour cet enfant qu’ils ont trouvé étendu sur la plage… né dans une mangeoire
Tu es libre baby
Libre maintenant et pour toujours
C’est noël tu peux décider
D’oublier ou de te souvenir
Tu es libre baby
Je ne suis pas venu ici pour me battre contre toi
J’ai parcouru les routes
De l’amour et de l’orgueil jusqu’ici pour me rendre
Les routes de la capitulation
Je vis dans les histoires qu’ils (on) racontent
Chez l’enfant que tu décidas de garder
Et chez ceux que tu as laissé partir (refusé)
Être libre baby
Baby libre maintenant et pour toujours
Cette vallée de larmes disparaîtra
Et tu ne te souviendras que de l’amour
Tu es libre baby
Je ne suis pas venu ici pour me battre contre toi
J’ai parcouru les routes
De l’amour et de l’orgueil jusqu’ici pour me rendre
Les routes de la capitulation
Les routes de la capitulation